Donc voilà j'ai commencer à écrire une nouvelle, qui j'espère dépassera ce stade et sera une histoire à part entière. Je poste le début même si j'en suis pas totalement satisfait :
Un bon petit village tranquille
Un groupe de trois soldats veillait à coté d'un tonneau dans lequel brûlait un feu. Ou plutôt, deux veillaient et un troisième dormait. Ils étaient arrivés dans ce village il y a trois jours et devaient y attendre encore une semaine l'arrivée de la relève. Il y avait soit disant des cultes hérétiques sur cet agri-monde. Soit disant. Habitués à être sur les zones les plus chaude des conflits, les deux semaines de calme plat depuis leur arrivée sur Burma II leur faisait plus penser à des vacances qu'à une campagne.
- Des vacances? Tu veux rire j'espère Ark'. Du gâchis plutôt.
Alors qu'Arkian Huller ouvrait la bouche pour répondre, le troisième ouvrit un oeil et dit :
- Bon, la famille Huller, ça vous dirait pas de me laisser pioncer. Obligé de faire ces reconnaissances depuis deux jours, j'en peux plus. Tout ça pour voir si des cailloux et des arbres ne menacent pas de nous attaquer. On pourrait pas arrêter ces conneries, sergent!
-C'est pas que ça me plaise, Herkoz. Les ordres ça vient d'en haut, moi je fais qu'exécuter. Lui répondit le sergent Huller.
-Keelson nous demande de faire ça? Demanda son petit cousin, Arkian.
-Non, c'est la casquette.
-La casquette? Demanda Herkoz en fronçant les sourcils.
-J'oubliais que t'étais un bleu dans notre peloton. Le lieutenant Forkou. Précisa Arkian.
-Ok. bon c'est pas tout mais j'ai une nuit à récupérer moi, sauf votre respect sergent.
Sur ces mots, Herkoz se remit dans sa position de repos, assis contre sa souche. Quelques secondes après, il tomba au sol, ce qui provoqua le rire des deux Huller. Ils rigolèrent ainsi quelques secondes de la chute de leur compagnon. Le rire prit rapidement fin, lorsqu'un bruit se fit entendre. Le bruit d'un impact de métal contre métal. Le tonneau. Immédiatement le sergent regarda Herkoz et vit du sang sous sa tête.
A couvert!
Ils sautèrent instantanément derrière le tronc d'arbre sur lequel ils s'appuyaient et se mirent à plat ventre.
Deux gardes arrivèrent en courant vers l'endroit où Huller avait dit ces mots. Ce dernier leur fit immédiatement signe de s'arrêter avant qu'ils se trouvent à découvert.
-Un sniper. A peu près dans cette direction, dit il en montrant la direction d'où venais l'impact sur le bidon. Turk cours me chercher Pardus. Toi, Kios, tu nous couvres, dans 3 secondes on arrive en courant, arrose dans cette direction. 1... 2 ... 3!
A ce mot, lui et Arkian se levèrent et coururent à toute jambes vers Kios et l'abris réconfortant du mur de la maison derrière lequel il était tandis que ce dernier envoyait une bonne rafale vers l'endroit présumé du tireur. Dès que ses deux compagnons furent à l'abris, Kios se remit entièrement à couvert.
-Je crois, Arkian, que c'est la fin des vacances... dit le sergent Huller.
-Toujours le même sens de la répartie à ce que je vois, sergent répondis Kios avec un sourire.
Turk et Pardus arrivèrent et Huller repris son sérieu. Il regarda Pardus.
Apelle moi le QG et file moi le combiné...
++ Escouade 2, vous me recevez?++
++ Ici le sergent Solik, je vous reçois.++
++ Allez me réveiller le capitaine s'il dors, alerte niveau delta.++
++... Keelson.++
++ Ici Huller, capitaine. Alerte Delta, on est la cible d'un sniper.++
++ Des pertes, sergent?++
++ Oui, Herkoz. On montais la garde à la sortie sud. Les tirs provenaient du sud est mais le tireur a pus changer de position. Il a dus se passer 3 à 4 minutes depuis le début de l'incident.++
++ Bien. Partez à sa recherche. Je veut un rapport dans 2 heures, l'Empereur vous garde.++
++ L'Empereur vous garde capitaine.++
Lorsque le sergent se retourna, trois autres membre de son escouade les avaient rejoint.
On se divise en trois groupes : Moi, Turk et Fancto, Arkian, et Rillian, Pardus et Terouz. Quelqu'un a un fumi? Parfait, on l'envoi par là. On s'embarasse de rien ; laissez tout ce qui peut vous ralentir. Dès qu'on est sorti du couvert de la fumée, on cours à couvert puis on ratisse les bois. Le premier qui trouve cet enfoiré à le droit de se le faire. On se rejoint ici dans une heure et demi.
Alors que tous posaient leur bardas et que Rillian sortait son fumigène, ils virent que l'information avait dûs être relayée à toutes les unités : un peu partout, ils voyaient des soldat commençaient à s'activer. Mais ils n'avaient pas le temps de s'intérésser à ce qu'ils faisaient, Rillians venait de jetter le fumigène et dès que la fumée fût assez épaisse, ils partirent en courant dans sa direction, les trois groupes se séparant.
Une heure et demi àprès, Huller était d'une humeur massacrante. Il arriva au point de ralliement. Les deux autres groupes étaient déjà là et il n'eut pas besoin de leur demander ce qu'avait donné leurs recherches vu leurs mines.
Ok les gars, allez vous coucher, reposez vous autant que possible. Je sais pas pourquoi, mais je pense que demain il va mieu falloir être en forme.
Tandis que les soldats le saluaient et se dispersaient vers les endroits où ils allaient dormir, les maisons des paysans qui avaient été évacués vers la capitale par mesure de sécurité, Huller parti vers le QG improvisé de son capitaine. Il traversa le village par l'avenue principale en voyant ses compagnons d'armes fortifier des positions de mitrailleuses ou cresant des tranchées. Préparatifs pour faire face à un assaut frontal. C'était donc cela qui les attendais selon le capitaine. Mauvais signe, très mauvais signe : si un gars avait un instinct infaillible, c'était bien Keelson. Depuis les sept années qu'il été rentré chez les Dragons, Huller été dans sa compagnie... Et il ne l'avais jamais vu se tromper. Avec ces pensées en tête, Huller entra dans ce qui avais dus être la mairie de ce village où il vit Solik, le Vox op du capitaine en train de coordonner les équipes de sapeurs improvisés. Le capitaine n'était pas loin, penchés sur une table où il montrait des points sur une carte aux deux Lieutenant de la compagnie : Forkou « La casquette » et Prosan. Ce dernier se retourna et rendit le salut du sergent Huller. Ce qui attira l'attention des deux autres gradés de la compagnie. Keelson ne s'embarassa pas de ces formalitées et demanda le rapport du sergent d'un mouvement de la tête.
- Un sniper mon capitaine, et un bon à mon avis. Je pense qu'il est parti dès qu'on a compris qu'on été ses cibles. On s'est répartis en trois équipes et on a ratisser le bois sans trouver ne serais ce qu'une trace.
Sujet: Le début d'une de mes histoires 
Mer 12 Déc - 20:28
